Un enfant joue à cache-cache dans les draps lors d'une lessive hebdomadaire dans l'orphelinat « Home of Hope » à Mchinji, au Malawi. « Ce qui me plaît le plus, c'est vraiment d'avoir l'opportunité d'établir un lien avec des personnes et des lieux, de capturer ce qui les rend uniques et de raconter leurs histoires », explique le photographe Tristan Schäfer. Photo prise avec un Canon EOS 5D Mark III (désormais remplacé par le Canon EOS 5D Mark IV) équipé d'un objectif Canon EF 50mm f/1.2L USM à 1/2500 s, f/1,8 et ISO 125. © Tristan Schäfer
Originaire de la ville animée de Johannesburg, en Afrique du Sud, Tristan Schäfer a laissé son empreinte sur de nombreux continents, car il a en effet effectué de longs séjours en Asie, en Amérique du Nord, en Afrique et en Europe.
Son parcours pour comprendre les différentes cultures et perspectives débute dans les rivières sinueuses de l'Afrique du Sud, où ses aventures en kayak en tant qu'enfant lui ont offert une myriade d'expériences enrichissantes. « Ces expériences m'ont permis d'avoir des perspectives sur tellement de personnes, cultures et lieux différents », se souvient Tristan. « Elles m'ont offert un point de vue et un jugement uniques sur les très nombreuses histoires que raconte l'Afrique. » Au travers de la photographie et de la réalisation, des hobbies qu'il pratique depuis l'âge de 8 ans, Tristan a eu la chance de pouvoir raconter ces histoires à un public plus large.
« Que ce soit en parcourant mon quartier pour filmer des documentaires sur la faune locale avec un petit caméscope, ou en repoussant les limites de ma pellicule pour vraiment perfectionner mes compétences en composition, ma passion a toujours été de transmettre aux autres des émotions et des sensations qui peuvent leur faire vivre l'histoire de quelqu'un d'autre », explique-t-il.