Le dégrafeur est devenu incontournable

Depuis plus de 20 ans, EVIM fournit des services de numérisation dans différentes villes d'Allemagne. « Notre activité a débuté au moment où les tout premiers scanners de documents originaux faisaient leur entrée sur le marché et il apparaissait évident que les archives papier existantes allaient être numérisées à moyen et long terme », se souvient Jochen Rasel, responsable de la production de la division Reha-Werkstatt EVIM à Wiesbaden. Un département distinct, qui opère sur le marché sous la marque Pixelwerk, a commencé à se spécialiser dans la numérisation de tous types de documents, attirant tout particulièrement de grandes entreprises et des autorités publiques parmi sa clientèle. « Ce n'est pas parce que nos organisations emploient des personnes handicapées que le travail qu'elles font est moins exigeant en termes de mécanique ou de productivité. Cette mentalité est révolue. Pixelwerk recrute principalement des personnes atteintes de troubles mentaux pour effectuer des tâches nécessitant des compétences spécialisées », souligne Jochen Rasel. Ce type d'opportunité d'emploi est très intéressant pour de nombreuses personnes qui travaillent chez nous. Depuis leur création, les sites de numérisation de Reha-Werkstatt utilisent les scanners de documents de Canon avec l'aide et la supervision de Sonis GmbH, l'un des partenaires de longue date de Canon dans ce secteur d'activité. « Nous n'avons jamais cessé d'investir dans notre architecture système et de la mettre à niveau. La seule chose qui s'est avérée extrêmement problématique pour nous et nos employés était le retrait des agrafes des documents et du courrier », explique Jochen Rasel.

« Grâce à nos contacts réguliers avec notre partenaire Sonis GmbH depuis de nombreuses années, nous sommes toujours au courant des dernières innovations de Canon. Par exemple, nous avons récemment investi dans une multitude de nouveaux scanners de documents Canon lorsque nous avons constaté une augmentation rapide du nombre de demandes de numérisation que nous recevions », explique Jochen Rasel. Par conséquent, la nouvelle qu'un tout nouveau dégrafeur automatique A1 venait d'être lancé sur le marché est arrivée aux oreilles des décideurs de Pixelwerk au moment idéal : « Après une courte période d'essai, nous avons choisi d'utiliser le dégrafeur automatique A1, car il permet à nos employés de renoncer à cette tâche mécanique s'ils le souhaitent, en particulier pour les grosses commandes », explique Jochen Rasel à propos de sa décision, qui a conduit le service de numérisation d'EVIM Reha-Werkstatt à Wiesbaden à tester ce nouveau système innovant en Allemagne. L'appareil est compact et facile à utiliser : deux arguments de vente clés qui ont réconforté les décideurs d'EVIM dans leur choix. Les services de numérisation de l'organisation caritative répondent aux besoins d'entreprises connues, et ces deux facteurs leur confèrent un avantage concurrentiel.

« Nos employés peinent souvent à préparer des piles classiques de feuilles agrafées pour les numériser. Mais le dégrafeur automatique A1 nous permet de recruter les collaborateurs de notre choix, y compris les personnes atteintes de troubles mentaux ou de handicaps physiques qui trouvent le retrait d'agrafes plus difficile que les personnes valides », explique Jochen Rasel, décrivant les tâches quotidiennes de numérisation au sein de Pixelwerk. « Sonis, partenaire de Canon, est spécialisé dans les organisations à but non lucratif telle que la nôtre », poursuit-il. « En nous suggérant le dégrafeur automatique A1, il nous a fourni un produit qui fonctionne parfaitement avec nos scanners Canon. » Les avantages sont évidents : tout d'abord, il permet à certains employés de ne pas avoir à retirer les agrafes manuellement. Deuxièmement, il permet d'éviter les blessures physiques et d'empêcher que les agrafes ou les restes d'agrafes n'endommagent les documents sensibles ou les scanners eux-mêmes. De plus, le dégrafeur automatique A1, disponible exclusivement auprès de Canon, est très compact, pouvant ainsi s'intégrer à n'importe quel poste de travail. Une fois les agrafes retirées, elles sont récupérées dans une boîte qui peut être facilement vidée. De plus, le système peut traiter des agrafes de tailles différentes et conformes à diverses normes. « Depuis que nous avons commencé à utiliser le dégrafeur automatique, nos postes de numérisation n'ont jamais été aussi propres et sécurisés. Cette innovation accélère nos flux de travail, précisément là où ils ont besoin d'être rationalisés », souligne Jochen Rasel.